Ayant eu lieu le 26 et 28 août dernier, le festival de Rock en Seine demeure une des grosses références parisiennes en matière de divertissement. Qu’il fasse l’objet des plus vives polémiques depuis ses toutes premières éditions n’y changent rien : Rock en Seine n’a pas son égal dans le domaine du divertissement, et c’est une vérité qui se confirme un peu plus tous les ans. Cette année, le festival a une fois de plus fait parler de lui avec un programme bien rempli.
La diversité musicale à l’honneur
Bien que le nom du festival puisse faire penser à une réunion de métalleux purs et durs, Rock en Seine s’évertue chaque année à montrer qu’il est plutôt favorable à la diversité musicale. Pas question de se cantonner sur un genre en particulier quand il est possible d’ameuter bien plus de monde avec différents univers musicaux. Cette année, le lot des artistes prévus sur scène peut encore une fois faire pâlir d’envie toute autre réjouissance voulant faire concurrence. Si l’on pouvait compter sur une apparition de Two Doors Cinema Club ou encore de Breakbot, le festival misait aussi sur des légendes telles qu’Iggy Pop et Damian Marley. De quoi satisfaire les mélomanes de tous bords, et donner un bon coup de nostalgie aux inconditionnels des années 2000 avec la participation de la fameuse girl band L7.
Des découvertes musicales au programme
Rock en Seine étant bien plus qu’un festival standard pour les aficionados de groupes connus, il était impensable qu’une édition puisse se passer de son lot de nouveaux talents à découvrir. Effectivement, ce ne sont définitivement pas les surprises qui ont manqué cette année. Etant en quête de nouveaux groupes pour alimenter les playlists, Rock en Seine a su donner toute une flopée d’artistes à découvrir. Entre la musique urbaine d’Anderson Paak et le rock plus obscur de the Psychotic Monks, il y a eu largement d’artistes pour nourrir les envies d’innovation musicale.